Sortir de la dépression: les points à travailler

Ça ne sert à rien de vivre ! Je ne vais pas y arriver ! J’ai envie que ça s’arrête !

Voilà ce que ressent au quotidien une personne en dépression.

Il est plus que probable que vous ayez déjà cherché la signification de la dépression, je ne vais donc pas vous redire ce que vous avez déjà lu à son sujet et passer directement à ce qui vous intéresse. 

En effet, généralement les définitions aussi précises soient-elles ne sont que des constatations et n’expliquent pas le sens de la dépression. 

Pour comprendre sa fonction il est nécessaire de s’intéresser à la biologie et à l’éthologie.

Et qu’est ce que la dépression d’un point de vue biologique ?

Un état de soumission accompagné d’une modification de l’équilibre hormonal qui entraine une absence de désir.

Pour la lecture sur les maladies d’origine émotionnelle  la dépression est une constellation de différents conflits internes. C’est à dire qu’elle est le résultat de 2 conflits actifs en même temps. 

  • Un état de soumission ou Pat hormonal
  • Un conflit de territoire
 
Voici donc les points à travailler pour sortir de la dépression.
Soumission

L'état de soumission

Pour le comprendre il est nécessaire de s’intéresser à la notion de territoire et à certains animaux vivant en meutes. 

Dans la meute de loup par exemple il existe une hiérarchie sociale bien définie. Seul le mâle alpha et la femelle alpha peuvent se reproduire et le second loup n’en a pas le droit. Il se soumet donc à l’alpha.

Lorsque la meute de loups se constitue, les mâles s’évaluent pour savoir qui est le plus fort. Ces affrontements plus ou moins violents verront le couronnement du chef et l’obéissance des autres loups à celui ci. Désormais il ne lutteront plus et accepteront leur place de dominé.

Le plus faible se soumet avec, dans le même instant, une chute du taux de ses hormones dominantes. C’est ce que l’on appelle le pat hormonal. 

Le loup dominé perd alors son agressivité et la louve dominée n’ovule plus. 

Chez l’être humain le fonctionnement est un peu pareil. 

En cas de situation invivable, insoluble, où il serait vain de lutter et où la personne se sent en état d’infériorité totale, le pat hormonal va se mettre en place et si en même temps il y a un conflit de territoire, cela déclenchera la dépression.

La soumission et la chute du taux d’hormone sexuelle dominante entraine une modification hormonale qui inhibe la libido et les désirs de l’individu soumis. C’est la raison pour laquelle dépression, perte de libido et absence de désirs vont souvent de pair. 

Pourquoi un tel fonctionnement existe ?

La Pat hormonal c’est un fonctionnement qui permet à tous les loups dominés d’être moins agressifs, c’est ce qui permet une paix relative dans le groupe. Si ce fonctionnement n’existait pas, ce serait la guerre permanente pour la reproduction. 

Pour l’homme, la dépression lui évite d’aller au combat et de se confronter à l’insupportable frustration de ne pouvoir satisfaire certains de ces besoins territoriaux, certains de ses désirs.  

Pour éviter cette souffrance, la dépression est la solution parfaite. Moins de désirs c’est moins de possibilité d’être frustré, c’est la possibilité de vivre dans le groupe en étant soumis à l’autorité. 

Le territoire

Les conflits de territoire

D’un point de vue biologique l’être humain a besoin de posséder un territoire, de le marquer, de l’occuper. Et cette notion est beaucoup plus vaste qu’on ne le croit généralement. 

Le territoire c’est ce qui m’appartient. Une femme, un homme, une épouse, une amie, un espace, une entreprise, une maison, un objet, des idées, un projet, etc.

Cela dépend des personnes évidement mais la notion de territoire existe chez chacun d’entre-nous et même chez celui qui dit ne rien posséder. Le territoire est une notion et non un simple lopin de terre.

1. La perte du territoire masculin

C’est la perte de son champ d’action.

La notion de territoire est intimement liée à des comportements de lutte que l’on trouve chez le conquérant, le bagarreur et chez le dominant. 

C’est l’archétype du chef.

Mais quel rapport avec la dépression ?

Le second loup pour pouvoir continuer à vivre se soumet à l’autorité du chef. Il devient plus féminin, moins combatif. 

Je ne peux pas me battre pour défendre ce qui m’appartient.

On trouve dans l’histoire personnelle ou généalogique de la personne un combat ou un territoire qui a été perdu, ou une personne très dominante qui l’écrase, la castre psychiquement. 

Très souvent cela cela crée une personnalité qui évitera de se battre. Simplement pour éviter un combat perdu d’avance ou éviter une autre souffrance liée à la perte du territoire. 

Un chef d’entreprise qui fait faillite et qui perd la bataille, qui perd ses biens et qui se promet de ne plus rien posséder, un chef de famille qui perd sa maison ou sa femme. Ce sont des exemples de ce conflit masculin de lutte. C’est la raison pour laquelle il touche principalement les hommes et les femmes masculines. 

Je vous expliquerai cela un peu plus loin..

Le versant féminin de ce conflit serait la femme amoureuse qui est délaissée par son compagnon. Chez les animaux c’est la femelle qui n’est plus le territoire, qui n’est plus possédée par le mâle. Et dans des considérations plus infantiles, c’est la petite fille qui n’est pas choisie, qui n’est pas la préférée du père. 

Comprenez ceci:

Le mâle alpha et la femelle alpha sont les seuls à se reproduire et les autres mâles et femelles vont voir leurs désirs disparaitre pour pouvoir continuer à vivre dans le groupe. Et pour ne pas être exclu de la meute ou du groupe la seule solution est la soumission. 

Les modèles de société ou la hiérarchie existe, fonctionnent sur ce principe.

Evidement nous sommes différents des loups et l’objectif ici n’est pas de dire que nous fonctionnons exactement comme eux, mais de vous permettre de comprendre ce qu’est la soumission d’un point de vue biologique pour l’homme. 

Une impossibilité à faire vivre ses désirs.

Dans la dépression l’absence de désirs permet d’éviter la souffrance de la frustration. Ce qui précède donc l’état dépressif c’est une immense frustration. 

Qui cela concerne t’il ?

Pour faire un conflit de perte de territoire masculin il faut être un homme droitier, une femme gauchère, une femme ménopausée, une jeune femme en aménorrhée.

Que comprendre de cela ?

Se battre pour un territoire ou le posséder est une fonction biologique masculine. Cela veut dire que naturellement les hommes droitiers réagiront avec leur masculin, que les femmes droitière réagiront avec leur féminin. Mais lorsque le féminin et le masculin sont perturbés, l’homme ou la femme peut réagir avec des comportements de l’autre genre. 

Pour les gauchers c’est différents, ils réagissent naturellement avec des comportements inverses à leur genre. 

Certaines pathologies, changements hormonaux ou conflits internes empêchent certaines personnes d’être sur leur genre naturel. Elles se retrouvent donc sur l’autre genre comme la femme ménopausée et la femme aménorrhéique. 

2. La perte du territoire féminin

Le conflit de perte de territoire féminin, c’est à dire l’impossibilité de constituer le territoire féminin. Celui dans lequel sera fondée la famille. On peut trouver des ruptures amoureuses ou des pertes de préférence du partenaire. 

C’est aussi l’amour qui est mis en danger par la présence d’une autre femme. 

On dira que c’est un conflit de frustration affective ou sexuelle.

Souvent cause d’infertilité, de troubles du cycle menstruel et de troubles du rythme cardiaque. 

Mais je vous expliquerai cela un autre jour..

Qui cela concerne t’il ?

Pour faire un conflit de territoire féminin, il faut être une femme droitière, un homme gaucher ou une femme gauchère en Pat hormonal ou ménopausée.  

Bien sur les hommes droitiers peuvent faire des troubles du rythmes cardiaques. Dans ce cas cela voudra dire qu’ils ont déjà déserté certains de leurs comportements masculins et qu’ils réagissent au territoire de manière plus féminine. Cela montre qu’ils ont un conflit de territoire masculin. 

3. La contrariété dans le territoire

C’est les conflits en lien avec la rancoeur et la colère que l’on ne peut pas exprimer. Soit parce que cela est interdit, soit parce que l’on a peur de faire du mal. 

C’est comme si vous ne pouviez pas chasser l’intrus de votre territoire, comme si vous étiez obligé de supporter sa présence. Les ulcères à l’estomac, les problèmes de vésicules biliaires en sont des symptômes courants. 

Vous ne pouvez pas accepter l’intrus et vous le subissez. 

Qu’est ce qui vous empêche de le mettre dehors ? 

4. Le marquage du territoire

Imaginez un animal qui urine pour délimiter son territoire. 

Il avertit le possible intrus qu’il est ici chez lui et qu’il doit passer son chemin et aller s’installer ailleurs. 

Le conflit pour une être humain c’est quand je ne peux pas délimiter mon territoire, mon espace ou lorsque je ne peux pas l’aménager comme je le souhaite. 

C’est le conflit des limites qui ne peuvent pas être posées et ce, de manière réelle ou symbolique. 

Ce sont des situations très souvent en lien avec le voisinage à propos d’une clôture ou de ne pas pouvoir organiser, aménager son territoire comme on le souhaite.

C’est lié à un ressenti d’intrusion

D’un point de vue symbolique c’est quand on arrive pas à empêcher l’autre de nous intruser avec ses croyances, lorsqu’on ne parvient pas à s’opposer à ce qui nous est imposé.

5. Les conflits de menace dans le territoire

Imaginez une personne inconnue qui s’approche trop près de vous. 

Elle est dans votre espace et vous vous sentez menacé. 

Le comportement inné c’est de la menacer. C’est à dire, la prévenir que si elle va plus loin, vous allez vous battre (lutte pour un territoire). 

Si vous ne pouvez pas menacer l’autre, le mettre en garde et ce peu importe la forme (parole, geste, police, etc..), alors vous êtes en conflit d’espace. 

C’est le conflit que l’on trouve derrière les disputes. Se disputer c’est menacer l’autre, défendre son espace relationnel harmonieux, celui dans lequel on se sent libre. 

le rêve en ruine

La perte du rêve

La tristesse permet de faire le deuil de ce que nous avons perdu..

Sa présence nous montre où chercher.

Que se passe t’il lorsque vous ne pouvez plus accéder à votre rêve ? 

Et que vous ne pouvez pas vous battre pour que la situation change ?

Vous perdez le sens de ce qui vous faisait vivre.

Le sens est toujours là, mais vous n’y avez plus accès de part votre situation de soumission à la situation.

Il va donc être important de se demander quels étaient vos désirs, vos rêves, avant que votre vie ne commence à changer. Et d’exprimer ce que cela vous fait de ne pas pouvoir les réaliser. 

Il y a peut être un deuil à faire.

Celui de la vision que vous aviez de vous dans le futur. Ce futur là n’existera probablement pas, il est donc nécessaire d’en faire le deuil pour qu’un autre puisse émerger. 

Ce qui est difficile dans la dépression c’est qu’on a l’impression qu’il n’y a pas d’issue pour en sortir. Et que cet état va durer éternellement. S’investir dans une activité nouvelle, découvrir de nouvelles choses, s’ouvrir à des domaines inconnus et à des informations nouvelles permet parfois de débloquer certaines des croyances qui vous limitent et vous maintiennent dans cet état.

La maladie est liée a une situation apparemment sans solution. Une information ou une activité nouvelle, aussi insignifiante soit elle, peut permettre de débloquer un peu la situation. 

C’est ce qui va vous redonner de la liberté d’agir.

Et plus de liberté c’est moins de dépression. 

Dévalorisation et culpabilité

La dévalorisation et la culpabilité que ressent le dépressif ne sont pas à l’origine de la dépression mais des conséquences de celle-ci.

Pour travailler la culpabilité je vous invite à lire l’article sur le jugement. 

Cela vous permettra aussi de retrouver une liberté d’agir importante.

Mais cela ne suffira pas à changer le fond du problème. 

Le fond c’est ce qui vous empêche de posséder, marquer, protéger un territoire pour le masculin et ce qui vous empêche d’attirer et d’être choisie pour le féminin. 

Peut être des représentations erronées de ce que sont ces genres de comportements.

Quels sont les pires défauts du masculin ?

Quels sont les pires défauts du féminin ?

C’est probablement dans ces réponses que se trouvent les croyances limitantes qui vous empêchent d’incarner pleinement votre genre et d’avoir accès à toute la gamme de comportements.

La suppression ou l’interdiction de certains comportements instinctifs diminue votre palette de réponses, vos possibilités de vous adapter au monde extérieur. Jusqu’à parfois ne plus pourvoir rien satisfaire. 

L’interdiction de l’agressivité est une catastrophe en ce qui concerne la satisfaction d’une partie des besoins biologiques

Et le résultat peut être une dévalorisation de soi.

Je ne suis pas capable d’être ceci ou cela..

C’est le seul sens que peut donner l’inconscient à ce que vous vivez si vous n’êtes pas conscient que la suppression de l’agressivité qui est associée à certains comportements masculins entraine un état de soumission.

Et comme on a besoin de mettre du sens à la souffrance, vous en déduisez donc inconsciemment que cela est de votre faute ou que vous n’êtes pas capable de vous en sortir. 

La solution à la frustration

Quel désir est frustré chez vous ? Quel désir ne prend pas forme ? 

La dépression apparait à la suite d’une importante frustration et pour laquelle il n’y a pas de solution. C’est comme si la personne voulait absolument quelque chose qu’elle n’obtiendra jamais. 

La souffrance importante pousse la biologie à trouver une solution. Et la solution justement c’est de ne plus avoir de désir. L’état qui corresponde à cela c’est le Pat hormonal. Un état que l’on trouve chez les enfants ou les vieilles personnes. L’absence de désir sexuel en est la caractéristique principale. 

Donc quel était votre désir principal avant l’apparition de la dépression et que vous n’avez pas pu concrétiser ?

C’est par là que vous pouvez commencer à chercher. 

Une difficulté à être sur son genre

Le pat hormonal est un état de soumission. C’est une diminution de l’utilisation des hormones sexuelles de son genre. Testostérone pour l’homme et oestrogène pour la femme.

Le taux de testostérone ou d’oestrogène imprègne les comportements féminins et masculins.  

Un homme qui ne pourrait pas avoir accès à certains comportements biologiques empreints de l’émotion colère ou d’agressivité comme menacer, lutter, défendre son territoire, pourrait se couper de son masculin et adopter des comportements plus féminin comme l’écoute, l’accueil de ses émotions, etc..

Mais il n’aurait pas entièrement renoncé à certains aspects du masculin. Seulement certains comportements masculins qui sont mal vu par la société. Et cet état pourrait accentuer la frustration et l’état de soumission. 

Une femme qui ne pourrait pas être sur son féminin pour diverses raisons (danger à être féminine, interdit, etc) pourrait adopter des comportements plus masculin comme la menace et la lutte.

Mais ce n’est un problème que si nos représentations de ce qu’est le féminin et le masculin sont erronées et qu’elles nous empêchent d’utiliser certains comportements instinctifs. 

J’ai personnellement pu observer que certaines personnes en dépression depuis des années étaient sorties de celle-ci en changeant de genre préférentiel. Elles ont retrouvé du dynamisme et de la joie de vivre en incarnant un genre différent. Les personnes trans-genres par exemple. Cela montre bien que les hormones influencent l’état de dépression. Une hormonothérapie fait sortir de la dépression. 

Et donc si cela est possible avec des hormones, c’est aussi possible en travaillant sur le masculin ou le féminin. 

Je ne suis pas en train de vous dire de changer de genre mais de vous réconcilier avec le votre et certains des aspects que vous n’aimez pas chez celui-ci. 

Le vieux sage

Chez les cerfs, lorsqu’un vieux mâle perd un combat de lutte pour un territoire, il y a de très fortes chances qu’il fasse un infarctus après le combat. Parce qu’il n’est plus assez fort pour s’opposer à son adversaire et que cet énième combat est venu clore un nombre incalculable de fois où il a dû défendre son territoire, lésant à chaque fois un peu plus ses artères coronaires, augmentant ainsi ses chances de se battre plus longtemps et d’être plus fort. 

Mais tous les vieux mâles qui ont perdu un combat ne meurent pas. Ceux qui survivent passent en Pat hormonal, en dépression et ne se battent plus. Il deviennent des vieux sages solitaires.  

Mais leur sagesse est complètement liée à leur état de vieux chef déchu et dépressif. Celui qui vous conseille d’être sage, vous invite peut être inconsciemment à ne plus avoir de désir de vivre, à demeurer dans la dépression, comme lui l’est peut être. 

A moins que vous n’ayez 80 ans, je ne vous conseillerais pas de devenir sage. Ce serait peut être vous condamner à un état qui va à l’encontre de vos pulsions sexuelles, de votre désir de vie et de vos hormones.

Comment travailler la dépression ?

Contrairement à ce que croient beaucoup de personnes, la dépression n’est pas forcément chronique, ni ne dure longtemps. C’est un processus qui peut prendre fin très rapidement. En identifiant vos désirs frustrés.

Pour les hommes droitiers ou les femmes gauchères travailler sur le conflit de perte de territoire ne pose pas de problème. Vous pourrez aussi travailler à la restauration du masculin (sur les croyances) et les autres conflits de territoire. 

En revanche pour les hommes qui ont dépassé la cinquantaine ou les femmes ménopausées, il sera nécessaire de faire des examens cardiovasculaires avant de travailler sur le conflit de perte de territoire. La réparation soudaine du conflit pourrait entrainer des pathologies cardiaques importantes.  

En cas d’examens délicats, il sera donc préférable de travailler sur la restauration du masculin pour les hommes et du féminin pour les femmes. 

C’est a dire restaurer certains aspects du masculin que vous aviez mis de coté ou qui était interdit jusqu’à présent. La colère et ses expressions par exemple. Il pourrait être nécessaire de travailler aussi sur la culpabilité et spécialement celle de faire du mal qui est lié à l’utilisation de l’émotion colère. 

Il est indispensable de dépasser cela et de retrouver l’usage de la colère. Vous aurez ensuite tout loisir de la réguler. Il est très important que vous compreniez que bon nombres d’idéologies sont construitent sur les conflits personnels de ceux qui les enseignent. Et ces idéologie sont souvent des fuites de ce qui fait souffrir l’enseignant. 

Pour les femmes droitières et les hommes gauchers, travailler sur la frustration affective ou sexuelle sera une priorité. C’est le conflit de territoire féminin. 

Pour résumer..

La dépression est un désir qui ne prend pas forme. 

Le sens biologique de la dépression est donc d’être une solution de survie pour la personne qui est incapable de solutionner ses conflits de territoire. Un état d’attente, de pause, de mise au frigo en attendant des jours meilleurs. Cela lui évite d’aller au combat, qu’elle ne pourrait que perdre et de provoquer une nouvelle et insupportable frustration, dévalorisation, culpabilisation. 

Cela permet aussi de conserver un état de paix dans le groupe car l’inhibition des désirs des sous chefs (second loup), les empêchent de se battre en permanence. 

Si l’on suit cette hypothèse, une société hiérarchisée est donc par nature une société dans laquelle la majorité des individus masculins est en dépression plus ou moins importante. Et ce, pour la paix de l’ensemble. 

Pour sortir de la dépression la restauration des capacités à défendre son territoire, à lutter pour ce territoire, sera nécessaire ou un travail sur ses représentations du masculin et du féminin. Cela dépend si l’on est un homme ou une femme. 

Et un travail sur la culpabilité pour retrouver une liberté d’action.. 

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2 commentaires sur “Sortir de la dépression: les points à travailler”

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